RENCONTRE AVEC J-P THEYSKENS, HISTORIEN DE L’ART
Les supermamies de l'art moderne et contemporain
Conférence de Jean-Philippe Theyskens, historien de l’art
Audace et endurance, l’art « fontaine de jouvence » de Georgia O’Keeffe, Dorothea Tanning, Louise Bourgeois, Margaret Harrison, Vera Monár et Jacqueline Mesmaeker.
Retour sur les carrières contrastées et passionnantes d’artistes dont parfois le plein épanouissement de l’expression ou la reconnaissance tardive du talent coïncident avec le grand âge : 80, 90, 100… voire plus.
Une rencontre avec Jean-Philippe Theyskens
Jean-Philippe Theyskens est historien de l’art et travaille au service de Médiation culturelle des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique depuis la fin des années 1990 comme guide-conférencier. Il est également professeur d’histoire de l’art moderne et contemporain à l’Académie des Beaux-Arts de Saint-Josse à Bruxelles.
Dans le cadre des conférences JAP
Après Bruxelles, Namur, Tournai, La Louvière, Liège et Bastogne, c’est au tour de Charleroi d’accueillir les conférences JAP grâce au soutien du CAL Charleroi et du PBA.
Parallèlement à son action de sensibilisation aux grandes tendances des arts plastiques à destination d’élèves du secondaire, l’asbl JAP travaille également en étroite synergie avec les écoles pour offrir aux jeunes une formation de qualité en histoire de l’art moderne et contemporain. À l’heure où les images nous inondent, analysons-les et expliquons en quoi elles font sens, en quoi la vision du monde par les artistes diffère. Interrogeons-nous sur ce qu’ils ont à nous transmettre, en quoi l’art s’est-il toujours régénéré et pourquoi est-il vital dans le monde qui nous entoure ?




Si un homme de sciences affirme que tous les cygnes sont blancs, combien en faudra-t-il pour valider son hypothèse ? 10 ? 100 ? 1000 ? Aucun en fait : la vraie démarche scientifique cherche à se faire mentir… C’est le cygne noir qui l’intéresse. Une histoire pour interroger les théories et leurs limites.
Une tempête s’annonce. Chaque famille se prépare et fait des provisions avant de s’enfermer, bien au chaud. Mais deux étrangers avancent dans le froid. Ils ont été surpris par la tempête. Qui sont ces gens ? Que veulent-ils donc ? La méfiance amène les habitants de la forêt à fermer leur porte et leur coeur. Heureusement, un acte de bonté survient…
Ernest n’arrête pas d’embêter Salomé. Il lui tire les cheveux, fait tomber ses lunettes exprès… La maman de Salomé dit que, peut-être, Ernest est amoureux d’elle.
Chaque jour, Nicodème se faufile en catimini dans le bureau de son papa pour vérifier que « le » cadeau est toujours là. Emballé dans un beau papier bleu et scellé par un ruban doré. Le petit garçon le regarde, le secoue tout doucement pour entendre résonner son petit bruit. Ensuite, il le repose, et s’en va. Mais l’image du cadeau ne le quitte pas.
Charlotte et les quarante poules de la basse-cour en ont assez d’être les seules à ranger le nid, couver les œufs et surveiller les poussins, pendant que Hadoc le coq et les poulets se prélassent et paradent la crête en l’air. Les poulettes manifestent, couvrent le cocorico matinal de leurs caquètements et font la grève des ailes. Cela cloue le bec d’Hadoc qui accepte de négocier.
À l’arrêt de bus, deux générations attendent et s’opposent. Un jeune échange des textos, prend des selfies et joue à des jeux en écoutant de la musique. Un homme âgé observe le spectacle de la nature : une araignée qui tisse sa toile, une colonie de fourmis, une plante qui pousse sur le trottoir.
Le Petit Prince vient d’une planète à peine plus grande que lui sur laquelle il y a des baobabs et une fleur très précieuse, qui fait sa coquette et dont il se sent responsable. Le Petit Prince aime le coucher de soleil. Un jour, il l’a vu quarante-quatre fois ! Il a aussi visité d’autres planètes et rencontré des gens très importants qui ne savaient pas répondre à ses questions. Sur la Terre, il a apprivoisé le renard, qui est devenu son ami. Et il a rencontré l’aviateur échoué en plein désert du Sahara. Alors, il lui a demandé : « S’il vous plaît… dessine-moi un mouton !»
« Dans la vie, beaucoup de choses se transforment et passent. Toutes sauf une. »
La girafe regarde par-dessus la palissade. Mais comment faisait-elle quand elle était petite ? Et ce singe pensif, était-il tellement sérieux quand il était petit ? Et cette grosse cochonne toute rose, était-elle déjà coquette quand elle était petite ? Pour découvrir l’enfant, il vous suffit de soulever l’adulte.




