Cinéphilos

Le Cinéma au service de la Réflexion

 

Un dimanche matin par mois, le CAL Charleroi vous invite à développer votre sens critique et votre capacité d’analyse des images, lors des Cinéphilos.

Pour se plonger dans la réflexion, nous regardons ensemble un extrait de film qui stimule le débat d’idées. L’animateur.trice guide les échanges et les relance à l’aide de nouveaux fragments qui permettent d’apporter des éclairages différents sur la problématique du jour.

Chaque séance propose de débattre d’une nouvelle question philosophique.
Vous hésitez ? Rejoignez-nous et découvrez une nouvelle façon de réfléchir ensemble !

Programmation 2024-2025

Dans ce premier Cinéphilo, nous partons à la découverte de la notion d’illusion à travers le prisme de deux classiques du cinéma muet.

Stanley Laurel, « The Sleuth » (1925)
Ce film muet met en scène des situations comiques qui reposent souvent sur des malentendus et des illusions visuelles. Laurel y joue un détective, engagé par une femme pour piéger son mari infidèle. Pour tenter de résoudre cette affaire, il revêtira une série de déguisements différents. S’en suivront une série de quiproquos et d’illusions.

Harold Lloyd, « The Freshman » (1925)
Dans cette comédie classique, Lloyd incarne un étudiant de première année qui, malgré ses illusions de grandeur et de popularité, se retrouve constamment en situations embarrassantes. Le film démontre comment les illusions de grandeur et les attentes irréalistes peuvent affecter notre perception de la réalité.

Quelle est la différence entre une illusion visuelle et une illusion mentale ? Comment le cinéma utilise l’illusion pour créer des situations comiques  Comment la perception de l’illusion par les personnages influence-t-elle leurs actions et décisions ?

À travers ces extraits de films, nous tâcherons de comprendre comment les illusions façonnent notre compréhension du monde et influencent notre comportement.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 29 septembre 2024  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

Dans le cadre de la campagne « Solde insuffisant: le choix de qui ?« , le cinéphilo d’octobre traitera de la précarité, en utilisant des extraits de deux films qui offrent des perspectives uniques sur ce thème.

Federico Fellini, « La strada » (1954)
Ce chef-d’œuvre de Fellini suit l’histoire de Gelsomina, une jeune femme vendue par sa mère à un artiste de rue brutal nommé Zampanò. À travers leurs voyages, le film soulève les thèmes de la pauvreté, de la marginalisation et de la survie, et propose une méditation poignante sur la précarité humaine.

Matteo Garrone, « Pinocchio » (2019)
Cette adaptation sombre et réaliste du conte classique de Carlo Collodi raconte l’histoire du marionnettiste Geppetto et de son fils de bois, Pinocchio. Le film illustre les luttes économiques et sociales de ses personnages et souligne les défis de la pauvreté et de la précarité dans un contexte de conte de fée.

En quoi les parcours de Gelsomina et Pinocchio reflètent les réalités de la marginalisation et de l’exclusion sociale ? Quelles leçons sur la dignité humaine et la résilience pouvons-nous en tirer ?

Ces extraits nous amèneront à réfléchir sur les défis et les injustices associés à la pauvreté, et comment elles peuvent nous inspirer à penser notre propre société.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 27 octobre 2024  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

Réfléchissons aux impacts de la modernité et de la superficialité, grâce à une immersion totale dans l’univers satyrique de Jacques Tati, son humour subtil et ses critiques visuelles.

Jacques Tati, « Mon oncle » (1958)
Ce film suit le personnage de Monsieur Hulot alors qu’il navigue entre son vieux quartier pittoresque et la maison ultra-moderne de sa sœur et de son beau-frère. À travers des scènes comiques, Tati critique la superficialité de la modernité et l’obsession pour l’apparence et le conformisme dans la société.

Jacques Tati, « Playtime » (1967)
Dans cette œuvre, Tati investigue le monde moderne et ses pièges, toujours à travers les yeux de Monsieur Hulot, qui se perd dans un Paris ultramoderne. Une critique de la société de consommation et du paraître, illustrant comment les environnements modernes peuvent déshumaniser et aliéner les individus.

Comment réagir aux pressions sociales du paraître et du conformisme ? En quoi les interactions avec les objets et les espaces modernes révèlent les absurdités de la société de consommation ?

Une matinée qui nous amènera à questionner notre propre rapport à l’apparence et à la consommation.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 24 novembre 2024  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

Deux œuvres cinématographiques sombres et poignantes nous serviront, pour ce premier Cinéphilo de l’année, à comprendre comment le jeu, en tant qu’activité, peut être à la fois un moyen de disruption et de salvation.

René Clément, « Jeux interdits » (1952)
Ce film raconte l’histoire de deux enfants qui trouvent refuge dans le jeu pour échapper à la dure réalité de la Seconde Guerre mondiale et explore comment le jeu devient une forme de résistance psychologique et un moyen de survivre à l’horreur environnante.

Roberto Benigni, « La vie est belle » (1997)
Dans ce classique du cinéma, Guido, un père juif, utilise le jeu pour protéger son fils des horreurs du camp de concentration nazi. En transformant la réalité terrifiante en un concours fictif, Guido réussit à préserver l’innocence et l’espoir de son fils. Ce film illustre le pouvoir du jeu comme une forme de sauvegarde émotionnelle et psychologique et offre une perspective sur la résilience humaine face à la barbarie.

Comment le jeu peut-il agir comme un mécanisme de survie ? Quels sont les aspects disruptifs du jeu dans des contextes de guerre et de violence extrême ?

Nous discuterons de la capacité du jeu à transformer des réalités brutales en espaces de liberté et d’espoir, même dans les circonstances les plus désespérées.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 26 janvier 2025  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

Ce mois-ci, nous nous penchons sur la question complexe de l’hospitalité à travers deux œuvres cinématographiques qui nous invitent à réfléchir sur les dimensions de l’accueil, de la bienveillance et de l’hostilité.

Dennis Hopper, « Easy Rider » (1969)
Dans Easy Rider, deux motards, Wyatt et Billy, traversent les États-Unis à moto, cherchant la liberté et une nouvelle façon de vivre. En chemin, ils rencontrent diverses formes d’hospitalité, certaines chaleureuses et accueillantes, d’autres hostiles et dangereuses. Une dichotomie entre l’idéal de l’hospitalité américaine et la réalité de la méfiance et de l’intolérance qu’ils rencontrent.

Lars von Trier, « Dogville » (2003)
Ce film raconte l’histoire de Grace, une femme en fuite qui trouve refuge dans la petite ville de Dogville. Les habitants acceptent de l’héberger en échange de ses services, mais leur hospitalité se transforme progressivement en exploitation et cruauté. Un récit qui interroge les véritables motivations derrière les gestes apparemment altruistes des habitants.

En quoi ces expériences reflètent les tensions entre l’individualité et la communauté ? Comment les deux films utilisent l’hospitalité pour commenter la société et les relations humaines ?

Ensemble, nous discuterons des implications sociales, éthiques et psychologiques de l’accueil et de la méfiance, et de ce que ces films révèlent sur la nature humaine et les dynamiques communautaires.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 23 février 2025  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

En ce mois de mars, les Cinéphilos nous amènent à réfléchir à la thématique du harcélement, à en explorer ses multiples facettes et à réfléchir sur les réactions appropriées face à cette problématique.

Alexandra Mignien, « Je suis nue » (2019)
Un court métrage qui aborde le harcèlement sexuel avec une intensité bouleversante. Le film suit le parcours d’une jeune femme confrontée à une agression sexuelle dans un environnement quotidien. La vulnérabilité, la honte et la difficulté à trouver un soutien adéquat sont au cœur de cette histoire qui met en lumière le courage nécessaire pour dénoncer ces actes.

Laura Wandel, « Un monde » (2021)
Nora entre en primaire lorsqu’elle est confrontée au harcèlement dont son grand frère Abel est victime. Tiraillée entre son père qui l’incite à réagir, son besoin de s’intégrer et son frère qui lui demande de garder le silence, Nora se trouve prise dans un terrible conflit de loyauté. Ce film expose les dynamiques de pouvoir, la peur de la dénonciation et les dilemmes moraux auxquels sont confrontés les enfants dans ces situations.

Quelles formes peut prendre le harcèlement ? Quels impacts sur les victimes ? Comment les environnements – qu’il s’agisse du milieu scolaire ou de la vie quotidienne – influencent la dynamique du harcèlement ?

A l’heure où de plus en plus de jeunes subissent du (cyber)harcèlement, nous essaierons de comprendre et de discuter de la manière dont on peut sensibiliser et inspirer des changements face à ce fléau.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 30 mars 2025  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

En avril, les Cinéphilos abordent la question du désarroi et de la perte de repères à travers deux films emblématiques.

Francis Ford Coppola, « Apocalypse Now » (1979)
Un chef-d’œuvre du cinéma qui nous immerge au cœur de la guerre du Vietnam. Nous suivons le capitaine Benjamin Willard dans sa mission pour assassiner le colonel Kurtz, devenu fou. Entre le chaos de la guerre et la perte de moralité, ce film met en lumière le profond désarroi et l’aliénation des soldats face à l’horreur et à l’absurdité du conflit.

Sofia Coppola, « Lost in Translation » (2003) 
Dans un registre totalement différent, « Lost in Translation » nous embarque au Japon, où Bob Harris, star de cinéma vieillissante, rencontre Charlotte, une jeune femme récemment diplômée et délaissée par son mari. Les deux étrangers, perdus dans la culture japonaise et leurs propres vies, se lient d’amitié et cherchent un réconfort mutuel. Une réflexion subtile sur le sentiment de déconnexion et la quête de sens.

Quels sont les éléments déclencheurs de la perte de repères ? Comment l’environnement peut influencer le sentiment de perte de sens ? Quels mécanismes de survie adopter pour faire face à la désorientation ?

Discutons de comment retrouver le chemin quand on est dans le brouillard.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 27 avril 2025  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

Ce mois-ci, nous partons à la découverte de l’univers de David Lynch avec la série emblématique « Twin Peaks ». Connue pour ses intrigues mystérieuses et son ambiance troublante, celle-ci nous pousse à interroger la nature du réel et ce qui se cache sous la surface de notre quotidien.

David Lynch, « Twin Peaks » (1990-2017) 
Dans la petite ville de Twin Peaks, la découverte du meurtre de Laura Palmer révèle une toile complexe de secrets, de mystères et de perturbations. Lynch utilise une esthétique et une narration non linéaires pour décortiquer les ombres et les contradictions du réel, posant ainsi des questions fondamentales sur la nature de la réalité et les angoisses qu’elle peut engendrer.

Quelles sont les caractéristiques du « réel » ? Quelle frontière entre le banal et le surnaturel ? 

Discutons de comment notre perception du réel peut être manipulée pour nous confronter à nos peurs les plus profondes, et délimitons, ensemble, la frontière entre ce qui est réel… et ce qui nous effraie.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 25 mai 2025  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

Pour le dernier des Cinéphilos de cette saison, nous nous intéressons à la question de la mécanisation de la Terre à travers le film « Koyaanisqatsi » de Godfrey Reggio.

Godfrey Reggio, « Koyaanisqatsi » (1982) 
« Koyaanisqatsi » (= « vie en déséquilibre » en langue hopi) est un film expérimental qui montre le contraste entre la beauté de la nature et la machine industrielle. Une critique de l’impact de l’activité humaine sur la planète qui invite à réfléchir sur la direction que prend notre monde et sur la possibilité que notre Terre devienne, en effet, une machine.

Ce chef-d’œuvre visuel, accompagné de la musique envoûtante de Philip Glass, permet de penser la relation entre l’humanité et la technologie, ainsi que l’impact de la modernité sur notre planète.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 29 juin 2025  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

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PRL

Pour la Green Team du CAL Charleroi 🙂 https://cal-charleroi.be/parcours-de-randonnees-laiques/

Rencontre | Les alternatives à la prison

Présentation d’une alternative à la prison classique qui pourrait se mettre en place dans ce quartier: le projet « Les Maisons ».
 
Intervenant:
Hans Claus, directeur de la prison d’Oudenaard et à l’initiative du projet « Les Maisons », dialoguera avec les habitants et l’association Avanti (militant local en matière d’alternatives à l’enfermement).
Hans Claus a plus de 30 ans d’expérience dans le milieu carcéral et milite pour la mise en place de maisons de détention de petite taille intégrées dans la société.
 
Par le biais de cette rencontre, le CAL Charleroi souhaite mettre en lumière des projets qui remettent l’humain et sa réinsertion au centre des préoccupations.
 
Infos et inscriptions auprès du CAL Charleroi: info@cal-charleroi.be – 071/53.91.72
Date : 20.05, 18 :00 – 20 :00
Lieu : MPA (Maison de la Participation et des Associations)

Balade Philo au Bois du Cazier

Entre nature, histoire et pensée

Une initiative lancée au regard de la Convention laïque 2022 intitulée « (Re)faire société »

Le CAL Charleroi, engagé dans la promotion de l’esprit critique et de la liberté de pensée, vous invite à découvrir une facette unique de notre territoire à travers la Balade Philo au Bois du Cazier. Cette promenade autonome, jalonnée de réflexions philosophiques, offre l’opportunité de se reconnecter à l’histoire et à la nature, tout en stimulant son esprit.

 

Pourquoi philosopher en marchant ?

Philosopher en marchant nous connecte à notre environnement et libère l’esprit. La marche incarne la recherche constante d’équilibre, tout comme la pensée. Nous oscillons d’un pied à l’autre et envisageons une idée puis une autre. Finalement, la marche, c’est un peu un corps qui pense.

Ici, au Bois du Cazier, un site empreint d’histoire, les terrils et les paysages alentour sont l’occasion parfaite pour s’interroger sur le lien entre l’Homme et la nature. 

 

Un itinéraire en 7 arrêts pour éveiller vos sens

La balade débute devant les grilles de l’ancienne mine. À chaque étape, des expériences philosophiques vous invitent à réfléchir sur vos perceptions et à renouer avec vos cinq sens. Du sentier longeant le terril, jusqu’au sommet offrant une vue imprenable sur la région, chaque arrêt permet de s’imprégner de la richesse du paysage et de l’histoire industrielle du Bois du Cazier.

Le parcours se termine au cimetière, un lieu de recueillement où reposent les mineurs victimes de la catastrophe de 1956. C’est un moment pour réfléchir à la mémoire collective et au lien entre passé et présent.

Que vous marchiez seul·e ou en groupe, cette balade est une expérience sensorielle et intellectuelle. Elle vous invite à ralentir, à observer, et à vous reconnecter à ce territoire chargé d’histoire.

 

Partagez-nous votre expérience !

Guillaume Lejeune est l’animateur qui a conçu cette balade philo à réaliser en autonomie. Vous pouvez lui faire part de vos vécus, lui envoyer vos plus belles photos, lui poser des questions ou suggérer des améliorations, extensions, idées nouvelles. À la demande et en fonction de ses disponibilités, Guillaume peut aussi accompagner un petit groupe et réaliser la balade avec vous.

 

En résonance avec l’exposition « L’art des sentiers métropolitains + La Grande Dérive »

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Journée SLP à Liège

Le Service Laïque d’aide aux Personnes est fondamental afin d’être aux côtés des personnes qui ont besoin d’écoute et de soutien dans une perspective de libre pensée!

Infos et inscriptions: 02/627 68 90 ou slp@ulb.be

Programme: 

Rôle des accompagnants laïques, des associations

Journée de réflexions et d’échanges proposée par le Service Laïque d’aide aux Personnes et le Centre d’Action Laïque

Journée reconnue comme formation continue

Programme:

Modérateur: Eddy Caekelberghs

8h30: Accueil

9h00:

  • Allocutions d’ouverture par Christie Morreale, vice-présidente du Gouvernement wallon, ministre de la Santé, de l’Action sociale et de l’Égalité des chances
  • Objectifs de la journée par Véronique De Keyser, présidente du Centre d’Action Laïque

9h30: Débat-échanges · Les inégalités et le vivre ensemble

  • La crise accentue les inégalités par Christine Mahy, secrétaire générale du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté
  • Solidarité: l’art du vivre ensemble par Jean-Pascal Labille, secrétaire général de Solidaris
  • Les bénévoles dans le réseau d’aide par Andrée Poquet, présidente du Service Laïque d’aide aux Personnes

10h30: Pause café

11h00: Débat-échanges · Accompagner la vulnérabilité: spécificité de l’approche laïque

  • La vulnérabilité et le processus de résilience par Anne-Marie Etienne, professeure de Psychologie de la santé (ULg)
  • La laïcité, respect de l’autodétermination: chemin de résilience par Jean Leclercq, professeur de Philosophie (UCL)
  • Notre spécificité dans l’approche interconvictionnelle par Simone Chaumont, présidente du SLP Liège, accompagnante laïque

12h30: Questions-réponses

13h00: Repas

14h00: Ateliers – débats autour de projets concrets (inscription au choix):

  • AT 1: 0800… une ligne laïque pour tous
  • AT 2: Cérémonie de deuil en MRS
  • AT 3: Respect des droits des patients
  • AT 4: Groupe philo en MRS
  • AT 5: Jeunes aidants proches: une aide intergénérationnelle
  • AT 6: L’accompagnant·e laïque en MRS: de l’écoute, du lien et beaucoup d’attention
  • AT 7: Des projets pour aider les personnes isolées à être et rester citoyennes du monde

15h00: Relaté synthétique des ateliers. Prospectives

16h00: Verre de l’amitié

 

En pratique:

  • Le mardi 3 mai 2022 à 9h
  • À la Cité Miroir, Place Xavier Neujean 22 à 4000 Liège
  • Entrée gratuite
  • Inscriptions souhaitées (choisir 3 ateliers selon l’ordre de préférence) au : 02/627 68 90 ou slp@ulb.be

De la crise à la résilience: la solidarité

Groupe d’écriture – « J’écris ma vie »

Racontez votre histoire

 

Le groupe d’écriture « J’écris ma vie » est une invitation à partager vos récits personnels dans un cadre chaleureux et bienveillant. Une fois par mois, ce groupe se réunit pour que chacun puisse présenter ses textes, qu’il s’agisse de souvenirs de vie, d’expériences marquantes, de passions ou de rencontres.

Les participant·es bénéficient de l’écoute et des retours constructifs des autres membres, enrichissant ainsi leur propre démarche d’écriture. Ce moment de partage permet non seulement de s’exprimer librement, mais aussi de développer ses compétences rédactionnelles.

Que vous soyez un·e écrivain·e aguerri·e ou débutant·e, ce groupe vous offre l’occasion de progresser dans une ambiance conviviale, où la créativité et l’échange sont au cœur de l’expérience. Vous serez accompagné·e par des passionné·es d’écriture qui, comme vous, souhaitent raconter leur histoire, tout en apprenant des autres.

Rejoindre ce groupe, c’est se donner la chance de mettre des mots sur ses maux et sur ses souvenirs et de les partager avec celleux qui comprennent l’importance du récit de vie. Si vous cherchez à immortaliser vos expériences et à les sublimer par l’écriture, le groupe d’écriture « J’écris ma vie » est l’endroit idéal pour vous.

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CONFÉRENCE « Quand l’extrême droite fait la une: médias et mobilisations d’extrême droite en Europe »

 TITRE:
« Quand l’extrême droite fait la une: médias et mobilisations d’extrême droite en Europe »
◼ INTERVENANT:
Pietro CASTELLI GATTINARA // Titulaire de la Chaire en Communication politique digitale à Sciences Po ULB et Marie Curie fellow à Sciences Po Paris
◼ RÉSUMÉ:
Médias et ancrage des extrêmes droites en Europe
Pietro Castelli Gattinara présentera une partie de ses recherches sur la manière dont les campagnes et la communication des partis politiques et des mouvements sociaux façonnent les débats publics en Europe. Deux processus seront plus spécifiquement abordés : les mécanismes de construction des controverses publiques autour de la citoyenneté et des migrations ; et l’impact des médias traditionnels et numériques sur les mobilisations d’extrême droite. L’intervention prendra appui sur les résultats préliminaires d’une enquête européenne en cours au Cevipol, en collaboration avec Sciences Po et le Center for Research on Extremism de l’Université d’Oslo.
 
◼ SÉMINAIRES MENSUELS:
Depuis l’année académique 2016-2017, l’ULB implantée à Charleroi organise des séminaires de recherche mensuels. Ces séminaires constituent un lieu d’échange et de rencontre ouvert à tou·te·s (chercheur·e·s confirmé·e·s, doctorant·e·s, étudiant·e·s, acteurs/trices locaux/ales, etc.) visant à questionner les transformations sociales contemporaines sous divers angles disciplinaires (sciences sociales et politiques, économie appliquée, droit, architecture ….) et méthodologiques.
◼ HORAIRE:
12h15-12h50 : Présentation de l’intervenant·e
12h50-13h30: Questions et discussion avec le public
13h30-14h : Lunch (sandwiches et boissons offerts)
◼ LIEU:
ULB CampusUCharleroi
Site A6K-E6K (ancien « tri postal » : sur l’esplanade de la gare de Charleroi Sud)
Square des Martyrs du 18 août
6000 Charleroi
◼ CONTACT:
transfo@ulb.ac.be
◼ RESPONSABLE ACADÉMIQUE
Ilan TOJEROW (SBSEM)
 
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