RésistanceS

Du 14 janvier au 25 février 2023

2 expositions pédagogiques sur la Seconde Guerre mondiale, accessibles dès 9 ans

Des visites animées pour enfants, ados et adultes sur réservation 

Une rando de la mémoire au départ du CAL Charleroi

Une vingtaine de résonances (conférences, ateliers, voyages …) pour sensibiliser aux résistances d’hier et d’aujourd’hui, d’ici et d’ailleurs

Contact général infos & réservations:

info@cal-charleroi.be – 071/53.91.72

Voir le programme complet 

 

Soirée des vœux

//Pour 2023, le CAL Charleroi vous souhaite de résister//

« Plus terrifiant que le bruit des bottes, le silence des pantoufles. »

Discours du président du CAL Charleroi, Kevin Saladé

Vernissage et séance de dédicace par Vincent Dugomier, scénariste de la BD « Les enfants de la résistance ».

Notre partenaire, la librairie Slumberland BD mettra les volumes des Enfants de la Résistance en vente pendant la soirée. Merci de privilégier le paiement par carte.

Présentation du programme « RésistanceS »

Adresse du jour: 

CAL Charleroi – Salle des Essarts – rue de France, 31 – 6000 Charleroi

Informations et réservations:

071/53.91.72 – info@cal-charleroi.be

 

CNV: Journées thématiques

Journées thématiques

Accessibles aux personnes ayant suivi les 2 jours d’initiation CNV*

Chaque journée se fixe pour objectif d’approfondir un aspect particulier de la communication collaborative.

25.11.22 – Transformer la colère
Cette journée permettra d’entraîner l’écoute, la compréhension et l’expression de l’énergie de la colère.

27.01.23 – Transformer la culpabilité
Lors de cette journée, l’invitation sera de transformer la culpabilité pour acquérir plus de compréhension, de bienveillance et de pouvoir d’action.

17.03.23 – Savoir dire non
Cette journée permettra un travail sur nos limites. Pouvoir dire non en mettant en lumière les besoins auxquels je dis oui.

25.08.23 – La gratitude
Cette journée est une invitation à goûter pleinement le fait de dire simplement et pleinement MERCI en nous basant sur le processus de la CNV : vous apprendrez à vous laisser toucher par la gratitude pour qu’elle nourrisse votre énergie de vie et d’action.

PRÉSENTATION DE LA FORMATRICE
Audrey Vaccin, animatrice en gestion positive des conflits et communication collaborative au CAL Charleroi, est actuellement en parcours de certification CNV pour être reconnue au niveau international (francophone). Elle pratique la CNV depuis plus de 10 ans.

Informations pratiques
Accessibles aux personnes ayant suivi les 2 jours d’initiation CNV
Dates :
Le 25 novembre 2022 : Transformer la colère
Le 27 janvier 2023 : Transformer la culpabilité
Le 17 mars 2023 : Savoir dire non
Le 25 août 2023 : La gratitude
Horaire : de 9h30 à 16h30
Tarif : gratuit
Lieu : Espace « les Cayats »
42/1, Rue de Monceau Fontaine – 6031 Monceau-sur-Sambre

Contact unique pour les informations et réservation (indispensable) : audrey.vaccin@cal-charleroi.be

*Pour le CAL Charleroi, la Communication NonViolente est un outil (comme la philosophie ou la méditation de pleine
conscience) qui nous permet d’accompagner les personnes afin qu’elles puissent mettre en pratique les valeurs qui nous
tiennent à cœur : liberté, égalité, solidarité.

Programme global 22 -23

Cinéphilos

Le Cinéma au service de la Réflexion

 

Un dimanche matin par mois, le CAL Charleroi vous invite à développer votre sens critique et votre capacité d’analyse des images, lors des Cinéphilos.

Pour se plonger dans la réflexion, nous regardons ensemble un extrait de film qui stimule le débat d’idées. L’animateur.trice guide les échanges et les relance à l’aide de nouveaux fragments qui permettent d’apporter des éclairages différents sur la problématique du jour.

Chaque séance propose de débattre d’une nouvelle question philosophique.
Vous hésitez ? Rejoignez-nous et découvrez une nouvelle façon de réfléchir ensemble !

Programmation 2024-2025

Dans ce premier Cinéphilo, nous partons à la découverte de la notion d’illusion à travers le prisme de deux classiques du cinéma muet.

Stanley Laurel, « The Sleuth » (1925)
Ce film muet met en scène des situations comiques qui reposent souvent sur des malentendus et des illusions visuelles. Laurel y joue un détective, engagé par une femme pour piéger son mari infidèle. Pour tenter de résoudre cette affaire, il revêtira une série de déguisements différents. S’en suivront une série de quiproquos et d’illusions.

Harold Lloyd, « The Freshman » (1925)
Dans cette comédie classique, Lloyd incarne un étudiant de première année qui, malgré ses illusions de grandeur et de popularité, se retrouve constamment en situations embarrassantes. Le film démontre comment les illusions de grandeur et les attentes irréalistes peuvent affecter notre perception de la réalité.

Quelle est la différence entre une illusion visuelle et une illusion mentale ? Comment le cinéma utilise l’illusion pour créer des situations comiques  Comment la perception de l’illusion par les personnages influence-t-elle leurs actions et décisions ?

À travers ces extraits de films, nous tâcherons de comprendre comment les illusions façonnent notre compréhension du monde et influencent notre comportement.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 29 septembre 2024  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

Dans le cadre de la campagne « Solde insuffisant: le choix de qui ?« , le cinéphilo d’octobre traitera de la précarité, en utilisant des extraits de deux films qui offrent des perspectives uniques sur ce thème.

Federico Fellini, « La strada » (1954)
Ce chef-d’œuvre de Fellini suit l’histoire de Gelsomina, une jeune femme vendue par sa mère à un artiste de rue brutal nommé Zampanò. À travers leurs voyages, le film soulève les thèmes de la pauvreté, de la marginalisation et de la survie, et propose une méditation poignante sur la précarité humaine.

Matteo Garrone, « Pinocchio » (2019)
Cette adaptation sombre et réaliste du conte classique de Carlo Collodi raconte l’histoire du marionnettiste Geppetto et de son fils de bois, Pinocchio. Le film illustre les luttes économiques et sociales de ses personnages et souligne les défis de la pauvreté et de la précarité dans un contexte de conte de fée.

En quoi les parcours de Gelsomina et Pinocchio reflètent les réalités de la marginalisation et de l’exclusion sociale ? Quelles leçons sur la dignité humaine et la résilience pouvons-nous en tirer ?

Ces extraits nous amèneront à réfléchir sur les défis et les injustices associés à la pauvreté, et comment elles peuvent nous inspirer à penser notre propre société.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 27 octobre 2024  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

Réfléchissons aux impacts de la modernité et de la superficialité, grâce à une immersion totale dans l’univers satyrique de Jacques Tati, son humour subtil et ses critiques visuelles.

Jacques Tati, « Mon oncle » (1958)
Ce film suit le personnage de Monsieur Hulot alors qu’il navigue entre son vieux quartier pittoresque et la maison ultra-moderne de sa sœur et de son beau-frère. À travers des scènes comiques, Tati critique la superficialité de la modernité et l’obsession pour l’apparence et le conformisme dans la société.

Jacques Tati, « Playtime » (1967)
Dans cette œuvre, Tati investigue le monde moderne et ses pièges, toujours à travers les yeux de Monsieur Hulot, qui se perd dans un Paris ultramoderne. Une critique de la société de consommation et du paraître, illustrant comment les environnements modernes peuvent déshumaniser et aliéner les individus.

Comment réagir aux pressions sociales du paraître et du conformisme ? En quoi les interactions avec les objets et les espaces modernes révèlent les absurdités de la société de consommation ?

Une matinée qui nous amènera à questionner notre propre rapport à l’apparence et à la consommation.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 24 novembre 2024  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

Deux œuvres cinématographiques sombres et poignantes nous serviront, pour ce premier Cinéphilo de l’année, à comprendre comment le jeu, en tant qu’activité, peut être à la fois un moyen de disruption et de salvation.

René Clément, « Jeux interdits » (1952)
Ce film raconte l’histoire de deux enfants qui trouvent refuge dans le jeu pour échapper à la dure réalité de la Seconde Guerre mondiale et explore comment le jeu devient une forme de résistance psychologique et un moyen de survivre à l’horreur environnante.

Roberto Benigni, « La vie est belle » (1997)
Dans ce classique du cinéma, Guido, un père juif, utilise le jeu pour protéger son fils des horreurs du camp de concentration nazi. En transformant la réalité terrifiante en un concours fictif, Guido réussit à préserver l’innocence et l’espoir de son fils. Ce film illustre le pouvoir du jeu comme une forme de sauvegarde émotionnelle et psychologique et offre une perspective sur la résilience humaine face à la barbarie.

Comment le jeu peut-il agir comme un mécanisme de survie ? Quels sont les aspects disruptifs du jeu dans des contextes de guerre et de violence extrême ?

Nous discuterons de la capacité du jeu à transformer des réalités brutales en espaces de liberté et d’espoir, même dans les circonstances les plus désespérées.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 26 janvier 2025  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

Ce mois-ci, nous nous penchons sur la question complexe de l’hospitalité à travers deux œuvres cinématographiques qui nous invitent à réfléchir sur les dimensions de l’accueil, de la bienveillance et de l’hostilité.

Dennis Hopper, « Easy Rider » (1969)
Dans Easy Rider, deux motards, Wyatt et Billy, traversent les États-Unis à moto, cherchant la liberté et une nouvelle façon de vivre. En chemin, ils rencontrent diverses formes d’hospitalité, certaines chaleureuses et accueillantes, d’autres hostiles et dangereuses. Une dichotomie entre l’idéal de l’hospitalité américaine et la réalité de la méfiance et de l’intolérance qu’ils rencontrent.

Lars von Trier, « Dogville » (2003)
Ce film raconte l’histoire de Grace, une femme en fuite qui trouve refuge dans la petite ville de Dogville. Les habitants acceptent de l’héberger en échange de ses services, mais leur hospitalité se transforme progressivement en exploitation et cruauté. Un récit qui interroge les véritables motivations derrière les gestes apparemment altruistes des habitants.

En quoi ces expériences reflètent les tensions entre l’individualité et la communauté ? Comment les deux films utilisent l’hospitalité pour commenter la société et les relations humaines ?

Ensemble, nous discuterons des implications sociales, éthiques et psychologiques de l’accueil et de la méfiance, et de ce que ces films révèlent sur la nature humaine et les dynamiques communautaires.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 23 février 2025  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

En ce mois de mars, les Cinéphilos nous amènent à réfléchir à la thématique du harcélement, à en explorer ses multiples facettes et à réfléchir sur les réactions appropriées face à cette problématique.

Alexandra Mignien, « Je suis nue » (2019)
Un court métrage qui aborde le harcèlement sexuel avec une intensité bouleversante. Le film suit le parcours d’une jeune femme confrontée à une agression sexuelle dans un environnement quotidien. La vulnérabilité, la honte et la difficulté à trouver un soutien adéquat sont au cœur de cette histoire qui met en lumière le courage nécessaire pour dénoncer ces actes.

Laura Wandel, « Un monde » (2021)
Nora entre en primaire lorsqu’elle est confrontée au harcèlement dont son grand frère Abel est victime. Tiraillée entre son père qui l’incite à réagir, son besoin de s’intégrer et son frère qui lui demande de garder le silence, Nora se trouve prise dans un terrible conflit de loyauté. Ce film expose les dynamiques de pouvoir, la peur de la dénonciation et les dilemmes moraux auxquels sont confrontés les enfants dans ces situations.

Quelles formes peut prendre le harcèlement ? Quels impacts sur les victimes ? Comment les environnements – qu’il s’agisse du milieu scolaire ou de la vie quotidienne – influencent la dynamique du harcèlement ?

A l’heure où de plus en plus de jeunes subissent du (cyber)harcèlement, nous essaierons de comprendre et de discuter de la manière dont on peut sensibiliser et inspirer des changements face à ce fléau.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 30 mars 2025  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

En avril, les Cinéphilos abordent la question du désarroi et de la perte de repères à travers deux films emblématiques.

Francis Ford Coppola, « Apocalypse Now » (1979)
Un chef-d’œuvre du cinéma qui nous immerge au cœur de la guerre du Vietnam. Nous suivons le capitaine Benjamin Willard dans sa mission pour assassiner le colonel Kurtz, devenu fou. Entre le chaos de la guerre et la perte de moralité, ce film met en lumière le profond désarroi et l’aliénation des soldats face à l’horreur et à l’absurdité du conflit.

Sofia Coppola, « Lost in Translation » (2003) 
Dans un registre totalement différent, « Lost in Translation » nous embarque au Japon, où Bob Harris, star de cinéma vieillissante, rencontre Charlotte, une jeune femme récemment diplômée et délaissée par son mari. Les deux étrangers, perdus dans la culture japonaise et leurs propres vies, se lient d’amitié et cherchent un réconfort mutuel. Une réflexion subtile sur le sentiment de déconnexion et la quête de sens.

Quels sont les éléments déclencheurs de la perte de repères ? Comment l’environnement peut influencer le sentiment de perte de sens ? Quels mécanismes de survie adopter pour faire face à la désorientation ?

Discutons de comment retrouver le chemin quand on est dans le brouillard.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 27 avril 2025  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

Ce mois-ci, nous partons à la découverte de l’univers de David Lynch avec la série emblématique « Twin Peaks ». Connue pour ses intrigues mystérieuses et son ambiance troublante, celle-ci nous pousse à interroger la nature du réel et ce qui se cache sous la surface de notre quotidien.

David Lynch, « Twin Peaks » (1990-2017) 
Dans la petite ville de Twin Peaks, la découverte du meurtre de Laura Palmer révèle une toile complexe de secrets, de mystères et de perturbations. Lynch utilise une esthétique et une narration non linéaires pour décortiquer les ombres et les contradictions du réel, posant ainsi des questions fondamentales sur la nature de la réalité et les angoisses qu’elle peut engendrer.

Quelles sont les caractéristiques du « réel » ? Quelle frontière entre le banal et le surnaturel ? 

Discutons de comment notre perception du réel peut être manipulée pour nous confronter à nos peurs les plus profondes, et délimitons, ensemble, la frontière entre ce qui est réel… et ce qui nous effraie.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 25 mai 2025  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

Pour le dernier des Cinéphilos de cette saison, nous nous intéressons à la question de la mécanisation de la Terre à travers le film « Koyaanisqatsi » de Godfrey Reggio.

Godfrey Reggio, « Koyaanisqatsi » (1982) 
« Koyaanisqatsi » (= « vie en déséquilibre » en langue hopi) est un film expérimental qui montre le contraste entre la beauté de la nature et la machine industrielle. Une critique de l’impact de l’activité humaine sur la planète qui invite à réfléchir sur la direction que prend notre monde et sur la possibilité que notre Terre devienne, en effet, une machine.

Ce chef-d’œuvre visuel, accompagné de la musique envoûtante de Philip Glass, permet de penser la relation entre l’humanité et la technologie, ainsi que l’impact de la modernité sur notre planète.

INFOS PRATIQUES

▶ Dimanche 29 juin 2025  
▶ De 11:00 à 12:30
▶ Quai 10 (Quai Arthur Rimbaud, Charleroi)

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Balade Philo au Bois du Cazier

Entre nature, histoire et pensée

Une initiative lancée au regard de la Convention laïque 2022 intitulée « (Re)faire société »

Le CAL Charleroi, engagé dans la promotion de l’esprit critique et de la liberté de pensée, vous invite à découvrir une facette unique de notre territoire à travers la Balade Philo au Bois du Cazier. Cette promenade autonome, jalonnée de réflexions philosophiques, offre l’opportunité de se reconnecter à l’histoire et à la nature, tout en stimulant son esprit.

 

Pourquoi philosopher en marchant ?

Philosopher en marchant nous connecte à notre environnement et libère l’esprit. La marche incarne la recherche constante d’équilibre, tout comme la pensée. Nous oscillons d’un pied à l’autre et envisageons une idée puis une autre. Finalement, la marche, c’est un peu un corps qui pense.

Ici, au Bois du Cazier, un site empreint d’histoire, les terrils et les paysages alentour sont l’occasion parfaite pour s’interroger sur le lien entre l’Homme et la nature. 

 

Un itinéraire en 7 arrêts pour éveiller vos sens

La balade débute devant les grilles de l’ancienne mine. À chaque étape, des expériences philosophiques vous invitent à réfléchir sur vos perceptions et à renouer avec vos cinq sens. Du sentier longeant le terril, jusqu’au sommet offrant une vue imprenable sur la région, chaque arrêt permet de s’imprégner de la richesse du paysage et de l’histoire industrielle du Bois du Cazier.

Le parcours se termine au cimetière, un lieu de recueillement où reposent les mineurs victimes de la catastrophe de 1956. C’est un moment pour réfléchir à la mémoire collective et au lien entre passé et présent.

Que vous marchiez seul·e ou en groupe, cette balade est une expérience sensorielle et intellectuelle. Elle vous invite à ralentir, à observer, et à vous reconnecter à ce territoire chargé d’histoire.

 

Partagez-nous votre expérience !

Guillaume Lejeune est l’animateur qui a conçu cette balade philo à réaliser en autonomie. Vous pouvez lui faire part de vos vécus, lui envoyer vos plus belles photos, lui poser des questions ou suggérer des améliorations, extensions, idées nouvelles. À la demande et en fonction de ses disponibilités, Guillaume peut aussi accompagner un petit groupe et réaliser la balade avec vous.

 

En résonance avec l’exposition « L’art des sentiers métropolitains + La Grande Dérive »

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